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  • Un nouvelle histoire que j'ai écrire pendant les vacances

    Un quadra 100% hétéro se fait prendre et  dépuceler analement par un  "p'tit jeune" - 5746 mots

    Bonne lecture.

     

    *  *  *

    Mon petit voisin

     

     

    A cette heure avancée de la soirée, le réceptionniste de l’hôtel était parti, mais une machine automatique permettait aux voyageurs tardifs de louer une chambre. Deux lits individuels ? Un lit double ? demandait l’écran, puis Petit-déjeuner Oui ? Non ? Il ne restait qu’à mettre sa carte de crédit, à payer et la machine imprimait le code à taper pour avoir accès à la chambre. En quelques secondes je pris une chambre dans ce petit hôtel situé à une sortie de l’autoroute A7 près de Valence. Je n’avais plus qu’à aller chercher mon compagnon de voyage, Lucas, qui était resté dans la voiture sur le parking en m’attendant.

     Lucas était le fils de notre voisine, Julia. Ma femme et moi avons emménagé en face de chez eux environ cinq ans plus tôt. Les parents de Lucas avaient récemment divorcé et sa mère avait récupéré Lucas et la maison.

    Julia et ma femme étaient devenues de bonnes amies au fil des ans. Lucas venait d’avoir son bac et partait maintenant à l'université. Il s’était inscrit en Lettres à Montpelier. Une drôle d’idée d’aller si loin, direz-vous alors qu’il habite en Normandie, mais il avait une tante qui habitait là-bas et qui pouvait l’héberger, au moins la première année. Double avantage, pas de piaule d’étudiant à trouver – une recherche toujours difficile – et surtout pas de frais de loyer, alors que sa mère ne roulait pas sur l’or.

     Celle-ci avait prévu de l’emmener en voiture deux jours avant la rentrée universitaire, plutôt que de le laisser prendre le train chargé de tous ses bagages. Manque de chance, au dernier moment elle avait eu un empêchement lié à son travail. Ma femme m’avait alors demandé d’emmener Lucas là-bas, comme cela avait été prévu. Cela ne me dérangeait pas, j'aimais Lucas bien et j'appréciais sa compagnie. Quelques coups de téléphone pour organiser le tout : comme je ne pouvais pas partir de bonne heure à cause d’un dernier travail à faire au bureau, le plan était de rouler le plus tard possible et de passer la nuit dans un des petits hôtels le long de l’autoroute dans la vallée du Rhône, vers Valence ou plus loin encore. De cette façon, Lucas pourrait s’installer le lendemain matin et je pourrais rentrer à la maison ensuite.

    Le problème, c’est que j’avais récemment découvert que Lucas était gay. Le problème, ce n’était pas qu’il soit gay, c’était que je le sache et que je ne pouvais pas m’empêcher d’y penser. Ces dernières années, j’avais eu envie d’aller avec un autre homme. Ce n’est pas que je me sentais gay, mis avec quinze ans de mariage j’avais envie de voir un peu autre chose. Je n’avais jamais touché le sexe d’un autre homme ni même vu un homme en érection, sauf dans un porno, mais depuis que j’avais découvert Lucas, je fantasmais sur le fait de lui sucer la bite.

    Comment ne pas fantasmer devant un si bogosse ? Le matin du départ mon Lucas était là, beau et sexy et il me fit comme à chaque fois le même effet de dingue.

    Lucas a de longs cheveux brun foncé, raides, qui lui descendent jusqu'aux épaules, un dos musclé, une taille fine et un petit cul serré qui attire filles et garçons. Et quand il sourit, son visage est chaud, charmant, lumineux. Ce matin-là, il portait un tee-shirt d’un bleu intense qui va parfaitement avec le teint de sa peau et le brun de ses cheveux. Un short noir met en valeur ses cuisses musclées et son petit cul ferme et rebondi. Il était à craquer.

     Lucas était devenu une obsession.  Je ne pensais plus qu’à lui. Je fantasmais à fond, et en même temps, je m’en voulais de nourrir de telles chimères mais ce garçon me semblait être un amour de tendresse et de savoir-faire.

    Dans ma petite tête d’hétéro je me disais qu’il pourrait être celui qui me ferait découvrir mes premiers vrais rapports sexuels avec un homme (j’oublie évidemment quelques petits jeux coquins quand j’étais encore un jeune ado mais ça n’avait pas été bien loin.)  Lucas, toujours Lucas. L’idée de passer une nuit dans la même chambre, de le sentir si proche de moi me faisait flipper. Une opportunité pouvait se présenter, je ne savais pas comment l’aborder. Je ne pouvais pas vraiment lui demander simplement : « Est-ce que je peux te sucer ? » Et s’il paniquait et le disait à sa mère. Elle l’aurait alors très certainement dit à ma femme. Tout ce que je pouvais faire, c’était y aller doucement et voir ce qui se passerait.

     Quand je suis revenu à la voiture, Lucas était à moitié endormi, la tête sur un oreiller appuyé contre la vitre du passager.

    « J'ai de mauvaises nouvelles. Il ne leur reste qu'une seule chambre et elle a un grand lit, un seul lit, » ai-je menti. « On peut continuer la route et chercher une autre chambre plus loin, mais je commence à être fatigué, je conduis depuis des heures. »
    « Non, non, ça ne me dérange pas de partager le lit… Et puis moi aussi, je crois que je vais vite dormir. »

     C’est vrai que nous avions pris un départ tardif et nous avions rencontré du mauvais temps et un trafic intense et le voyage avait duré plus longtemps que prévu.

    J'étais soulagé qu'il ne veuille pas chercher un autre hôtel, mais j'étais nerveux quant à la suite des événements.

     

    La chambre était typique de ces petits hôtels en bordure d’autoroute où on vient juste pour dormir quelques heures avant de reprendre la route. Un grand lit, une télévision et une planchette servant de bureau. Le lavabo se trouvait dans une alcôve ouverte, et, à l'autre bout de la pièce, séparées par une porte, les toilettes et la douche.

    Une machine installée près de la réception vendait quelques boissons. J’en ai ramené quatre canettes de bière, pensant que ça pourrait aider à briser la glace.  Une ou deux bières pourraient suffire à réduire ses inhibitions.
    « Tiens, j’en ai pris pour nous deux... Je ne sais pas si ta mère apprécierait. »
    J'ai immédiatement regretté de parler comme un adulte protecteur et donneur de leçons, , surtout que nous nous étions sommes bien entendus sur la route.
    « Non, elle est OK tant que je ne suis pas bourré. Ça m’est quand même arrivé quelques fois !

     Nous avons tous les deux pris une bière et Lucas a allumé la télévision. J'ai fini la moitié de ma bière avant d'annoncer que j'allais prendre une douche, ne gardant que mon boxer avant d'aller dans la salle de bain. J'espérais voir une sorte de réponse de Lucas. Il m'a jeté un coup d'œil et j'ai cru le voir jeter un œil à mon entrejambe, mais je n'en étais pas sûr. C'était probablement juste une idée que je me faisais. C’est vrai que physiquement je suis en forme pour mon âge, plutôt grand, assez mince, sans la bedaine de tant de quadragénaires car je faisais pas mal de sport, pas trop grisonnant encore, mais quelles sont les chances qu'un jeune de 18 – 20 ans - même s’il est gay - trouve un homme de mon âge attirant ?

     En entrant dans la douche, j'étais excité comme un fou mais je résistai à l'envie de me branler. Je savais que c'était probablement le seul soulagement que j'allais obtenir mais je gardais toujours l'espoir que quelque chose pourrait arriver avec Lucas. Je retournai dans la chambre avec une serviette enroulée autour de la taille. Ma queue était encore à moitié dressée et la serviette la cachait à peine. Je décidai de faire fi de toute prudence et de me mettre nu devant Lucas. Après tout, nous étions deux hommes et il ne serait pas si inhabituel de se changer devant lui. Ça se passe comme ça dans la plupart des vestiaires de sport. J’ai ouvert le lit comme pour y monter et j’ai donc laissé tomber ma serviette sur le sol. J'étais tourné sur le côté, ce qui donnait à Lucas un bon point de vue sur ma bite, sans être trop évident. Je suis de taille moyenne, bonne longueur et bonne épaisseur, du classique, mais du bon classique ! Je ne sais pas s'il était impressionné, mais Lucas la regardait, les yeux clairement fixés dessus.

    « Tu dors à poil ? » me demanda-t-il.
    « Oui, toujours, je suis habitué comme ça » et j’ajoutai à mi-voix, comme si c’était une grande révélation : « Et puis pour batifoler avec l’autre, c’est plus direct… Tu vois ce que je veux dire ? ...Mais si ça te gêne, tu le dis et j’enfilerai un slip et un tee-shirt. »

    « Non, c ‘est OK pour moi. C’est vrai qu’on se sent bien sans rien pour dormir... ou bien pour autre chose, tu as raison. »

    Je me suis alors fourré dans le lit, espérant encore… espérant quoi encore ?

     J'ai remarqué que Lucas avait pris une deuxième bière. Il voulait aussi prendre une douche mais, à ma grande déception, il est allé dans la salle de bain pour se déshabiller. Je cherchais toujours comment aborder Lucas et lui faire comprendre ce à quoi je pensais. « La bière ne peut pas faire de mal, » je me suis dit. « Comment aller un peu plus loin ? ». J'ai pensé mettre un porno à la télé mais j'ai pensé que l’invite serait trop grosse et j'ai juste regardé les nouvelles à la place.

     Au moment où Lucas est sorti de la douche, j’ai jeté un œil dans sa direction et redressé sur les deux coudes, le dos appuyé à l’oreiller, je l'ai regardé en train de se brosser les dents dans le lavabo : bien campé sur ses deux jambes, il ne portait rien d'autre qu'une serviette autour de la taille et il était vraiment beau… à croquer. Je ne pus m’empêcher de me lancer en lui disant :

     « T’as un super physique, je comprends les filles qui te recherchent et moi, si je n’étais pas un vieux assez âgé pour être ton père, je crois bien que je mettrais aussi sur les rangs. » Il se retourna à demi et, tout en se brossant les dents, me fit un sourire et marmonna :

    « C’est sympa de me dire ça. » 
    « Non, c’est vraiment ce que je pense, tu dois être un bon coup... »
    « Ce n’est pas pour me vanter, mais oui, il y en a qui le disent…D’ailleurs toi aussi tu l’as remarqué ! »

    Lucas éteignit la lumière au-dessus du lavabo et se dirigea vers le côté du lit. J’eus le temps d’entrevoir le contour de sa bite sous la serviette avant qu'il n'éteigne la lampe, ne laissant que la faible lueur de la lumière de l'extérieur passer à travers les rideaux.

     « Comment s'est passée la douche ? » demandai-je.

    « Elle était bien chaude », dit-il. « J'avais besoin qu'elle me réchauffe, il fait un froid glacial ici. »
    « Tu veux que je monte le chauffage ? » je proposai.

    « Non, ça ira. Et puis je me collerai contre toi s’il le faut. »

    Se coller sur moi ? Corps contre corps ? Avais-je bien entendu ? Avait-il compris tout ce que j’essayais de lui dire depuis notre arrivée dans la chambre ? Ou bien avait-il simplement froid et cherchait-il à se réchauffer ?

    Il saisit la serviette et la jeta par terre et se glissa sous les couvertures. A cause de la faible lumière, je pus tout juste distinguer qu'il ne portait pas de short et allait dormir nu, lui aussi.  Avant de me résigner à ce que Lucas ne partage pas mon fantasme, je voulus faire un dernier essai. « Ça va mieux ? Tu as si froid que ça ? Fais voir !», je luis dis en avançant la main pour la poser sur son aine ? Il sembla ne pas réagir et me dit simplement qu’il était OK.
    « Tiens, toi aussi tu dors à poil ! » m’exclamai-je, comme si je faisais une découverte. Je poursuivis la conversation en essayant de l’amener vers quelque chose de plus personnel :

    « Deux hommes nus dans le même lit, ce n’est pas un peu douteux ? » dis-je pour commencer.
    « Pas plus qu’un garçon et une fille. »

    « Oui mais qu’un garçon et fille couchent ensemble et finissent par faire l’amour, c’est dans la norme, mais deux hommes, ça peut choquer certaines personnes. »

    « Moi, ça ne me choque pas. » continua Lucas, « Garçon et fille, ou bien deux mecs, c’est bon, du moment qu’ils sont d’accord pour le faire. »
    Là, c’était le bon moment : j’aurais dû en profiter pour lui répondre « Comme toi et moi, par exemple » et lui annoncer que j’étais dispo si jamais… mais trop bête ou trop timide j’ai laissé passer l’occasion. J’ai marmonné je ne sais trop quoi et la conversation ‘est arrêtée.

     Lucas se retourna sur le côté gauche, me tournant le dos. Ce n'était pas bon signe.

    Ma bite était dure comme du roc et pointait vers le haut, soulevant la couverture comme un piquet de tente. Je me suis roulé sur le côté face à Lucas et j'ai décidé d'attendre qu'il s'endorme pour pouvoir me branler tranquillement sous la couverture.

     Soudain, il bougea. Il était si proche que je pouvais sentir la chaleur de son corps. Je réalisai que si j'avançais de deux ou trois centimètres le bout de ma bite dure toucherait ses fesses, mais je n'osais pas. A nouveau je tendis la main droite pour le toucher, la laissant reposer sur le bas de son dos. Je me dis qu’il pourrait supposer que c'était fait involontairement.

    En y repensant, je trouve tous ces petits sous-entendus, ces petites tentatives d’approche vraiment minables. En fait c’est Lucas qui avait déjà tout compris et qui a pris les choses en main. Il y est allé directement : soudain je sentis sa main se poser sur la mienne.

    « Je vais te dire un secret, » dit Lucas, d’une drôle de voix, comme s’il allait m’annoncer quelque catastrophe, « ça fait quelques temps que je pense à toi et que je me dis que nous deux on pourrait… » Il ne finit pas sa phrase. En même temps qu’il parlait, sa main a saisi la mienne, l’a fait glisser sur son ventre, jusqu’aux poils pubiens et jusqu’à son sexe.

    Je suis resté figé une ou deux secondes quand Lucas a attrapé ma main et l'a enroulée fermement autour de sa queue – un manche aussi dur et dressé que le mien et l'a lentement dirigée de haut en bas.  Il n’était pas difficile de comprendre ce qu’il attendait de moi et j'ai commencé à le branler. Il a gémi légèrement en murmurant des mots incompréhensibles.

     Je me suis rapproché jusqu'à ce que ma bite pousse contre la fente de son cul et j'ai continué à lui branler le manche. Lucas s'est retourné sur le dos et a jeté les couvertures, me permettant un meilleur accès à son corps. Je pouvais voir l'ombre de sa bite, dure et légèrement courbée vers le haut en direction de sa poitrine.

     Malgré la semi-obscurité, j’ai vu le sourire qu’il me faisait, un sourire à me foudroyer puis il m’a pris par les épaules et a appuyé ses lèvres contre les miennes.

    Nous nous sommes embrassées, un long baiser maladroit, peut-être, mais passionné ; mon premier baiser avec un homme !

     Mon cœur s’est mis à bondir. Je n’ai pas ressenti que je faisais des « cochonneries » et que c’était anormal, mais juste que c’était bon. C’était nouveau, c’était excitant. J’aurais pu rester des heures avec ses lèvres sur mes miennes.

    Il passa les mains autour de ma taille et m’attira contre lui. Je sentais sa bite dure appuyer sur mon ventre Je me suis pressé contre ce jeune corps, lui pétrissant les fesses lui caressant les jambes, le ventre, la poitrine, tout en le masturbant doucement, Mes mains couraient sur son dos musclé, serraient ses belles fesses rondes et je n’enivrais de son odeur de mâle en chaleur.

    Sa bite épaisse formait un manche droit et dur, érigé sur une touffe de poils pubiens avec une paire de boules lourdes qui pendaient en dessous. Il était magnifique.

    Je ne pouvais plus attendre pour goûter ce manche merveilleux. Et j’ai fait quelque chose que j’aurais cru ne jamais faire : j’ai sucé Lucas ! Ma première pipe, ma première vraie pipe !

     Je me suis déplacé sur mon coude gauche et l'ai attrapé avec ma main libre. Sa queue était comme de la soie enroulée autour d'un bois dur. Au début, j'étais hésitant, mais je fis à sa bite ce que j'aimais. Je lui ai caressé les couilles – chaudes et douces, j’ai léché le gland, goûtant son pré-foutre. J’ai tourné ma langue autour de son gland ... comme ma femme le faisait (mais, hélas, bien trop rarement !) puis j'ai glissé ma langue lentement de haut en bas sur le manche, le baignant dans ma salive. Puis je l'ai pris jusqu'à ma bouche. Je l'ai lentement pris de plus en plus profondément jusqu'à ce que je sente que mon nez était pressé contre son pubis. Je l'avais complètement dans ma bouche ! C'est difficile de croire à quel point c'est naturel d'avoir une bite dans la bouche.

    J'ai tout de suite aimé la sensation de sa peau soyeuse sur mes lèvres. J'ai découvert que sa queue offrait un étonnant contraste de textures. La dureté du manche était tempérée par une peau douce et lisse et la sensation spongieuse de son gros gland. Les gémissements de plaisir que Lucas poussait m’encourageaient à faire mieux.

     Entendant ses gémissements augmenter, je suis devenu plus confiant et j'ai commencé à bouger. Impatient de goûter ma première giclée de sperme, je me suis mis à bondir furieusement sur sa queue comme un ado débordant de testostérone, pas comme le père de deux enfants, marié de quarante-quatre ans que j'étais.

    « C'est ça, prends toute ma bite. Maintenant fais-moi jouir. », gémit Lucas. Je voyais que je faisais de l’effet à mon partenaire car sa respiration devenait plus lourde. J'alternais entre sucer et lécher pendant que je lui massais les couilles. Lucas avait pris ma tête entre ses mains et me guidait et je me suis dit que j’allais devenir un vrai j'étais un suceur de bite. Oui, hétéro ou homo, j’étais un suceur de bite !

    Je sentis sa queue palpiter juste au moment où Lucas m'avertissait qu'il allait jouir et qu’il relâchait son emprise sur ma tête pour que je puisse me retirer. Mais trop tard, Lucas grogna et gémit et je sentis son corps se tendre et spasmer alors qu'il jouissait. Le premier jet éclata dans la gorge, un autre me remplit la bouche, un troisième éclaboussa mes lèvres, mes joues et tout mon visage. Je sentais le sperme dégouliner sur mon menton ! J'avalai goulûment le foutre chaud et salé – la semence de mon amant ! Je continuai à lui sucer la bite, bien que plus lentement maintenant, pour ne rien perdre de ses dernières gouttes.

     Brusquement Lucas sembla se figer une seconde puis il éclata de rire.

     « C’est quoi ? », je lui demandai.

    « « C’est juste que t’es couvert de foutre. La figure zébrée de grandes trainées blanchâtres… Attends une seconde je vais nettoyer tout ça…. C’est presque dommage d’enlever une vraie œuvre d’art, du travail de pro… »  Lucas a sorti des kleenex et m’a nettoyé avec beaucoup de gentillesse et de douceur.

     Ayant à peine terminé, Lucas annonça : « A mon tour. Je vais te pomper aussi. »

    Je n’attendais que ça !
    « On t’a déjà sucé, au moins ? me demanda-t-il ».

    « Tu plaisantes ou quoi ? » lui lançai-comme si j’étais un vétéran de la pipe. Mais en fait, je dois l’avouer après une ou deux fois avec d’autres ados, je n‘avais connu que la bouche de ma femme, qui, dans les premières années de notre mariage, avait tenu à me faire plaisir – mais sans enthousiasme réel et sans fantaisies. C‘était manifestement pour elle le « devoir conjugal ».  Et même ce « service minimum » avait cessé depuis plusieurs années.

    « Allonge-toi et laisse-toi faire. Je vais ta vider les burnes comme jamais ! » il me déclara.

     Il se pencha sur moi.,

    « Ummmh ! Ça a l’air bien bon, tout ça ! » ! Il a tiré le prépuce en arrière pour dégager le gland et a pris ma bite dans sa bouche. J'étais maintenant dur comme du roc.

    Il a passé la langue sur le bout, puis, pendant un certain temps, il a joué avec mes couilles. Il les a prises toutes les deux dans sa bouche. Et il léchait ma bite de haut en bas. Puis il a commencé à sucer. Ses lèvres glissaient dur mon manche, descendaient et remontaient, et il n’oubliait pas de lécher le frein sur le gland de ma bite en feu.

     

    D'abord, il en a sucé la moitié puis je l’ai senti prendre toute ma bite dans sa bouche. C'était la meilleure sensation que j’avais jamais connu ! Il l'a fait pendant un certain temps et je savais que je ne durerais pas longtemps.

    Puis il s’est mis à me sucer lentement et j’ai compris qu’il voulait faire monter encore mon excitation ; sans prévenir il ressortait ma bite sa bouche pour donner quelques baisers sur mes poils ou mes couilles, puis il avalait à nouveau ma queue et mon plaisir reprenait de plus belle. Je me sentais frustré, j’avais tellement envie de jouir. Sa tête montait et descendait lentement sur bite et c’était clairement lui qui déciderait quand je pourrais enfin exploser !

     C’était trop dur, trop de plaisir, trop d’envie, trop de feu dans mes couilles.

    « Laisse-moi jouir, s’il te plaît »

    Il a accéléré, sa langue tournait sur mon gland de plus en plus vite, il me suçait à 100 à l’heure. J’ai senti l’explosion arriver.

    « Oh putain ! Ça y est, ça vient ! Ooooh ! » je me suis écrié comme le ferait un ado de 15 ans pompé par un pote…  Je n’avais plus qu’un seul objectif dans la vie, gicler au fond dans sa bouche, l’inonder de foutre, jouir comme une salope !

    Pendant les 30 secondes qui ont suivi, j'ai gémi et juré bruyamment pendant que le beau minet me vidait les couilles.

     

    Un orgasme m’a balayé pendant que je me vidais. Je ne souviens pas avoir déjà joui si fort et juté autant…A la fin, quand j’ai eu fini de jouir, ma bite était extrêmement sensible mais Lucas continuait à me pomper, si bien que j’ai dû lui demander de me laisser. C’est même bête d’être obligé de demander d’arrêter une pipe !

    Mon souffle était haletant. J’avais du mal à réaliser tout ce qui venait de se passer. J’étais repu de sexe…

    Lucas tendit la main et alluma la lampe pendant que je continuais à lécher et sucer sa queue, faisant de mon mieux pour nettoyer jusqu'à la dernière goutte de sperme.

     En levant les yeux j’ai la queue de Lucas dressée, dure, orgueilleuse. Lucas rebandait déjà. Si vite après avoir joui, m’étonnai-je. Mais c’était oublier qu’un garçon de 20 ans a un fusil à répétition – contrairement à un quadra comme moi qui n’a plus qu’une vieille pétoire à un ou deux coups, pas plus. Mais je tendis la main pour attraper sa bite et la trouvai dure comme de la pierre. J’étais rassuré et à nouveau, je me laissai emporter par mes pulsions.

     Il s'est arrêté après un moment et m'a murmuré à l'oreille.

    « Tu veux qu’on continue ? Que je vienne dans toi ? Je suis certain que tu n’as jamais essayé ?
    « Oui, c’est vrai, je ne suis jamais allé avec un homme. Tu veux vraiment m’enculer ? » demandai-je vaguement inquiet, tout de même.

    « Tu ne peux quand même pas rester vierge du cul encore plus longtemps, » répliqua-t-il aussitôt en riant. Lucas attrapa un tube de lubrifiant posé sur une chaise à côté de lui. Il avait dû le placer là en anticipant, ou du moins en espérant, que quelque chose pourrait se passer entre nous.

     

    En même temps, le bogosse s’occupait de moi. Ses mains glissèrent sur mon ventre, puis sur mes fesses et je sentis un doigt appuyer sur ma rosette et glisser dans mon trou toujours vierge, c’est vrai. Mes rêves ou mes fantasmes allaient se réaliser, mais je savais qu’un fois que j’aurais dit ‘oui’ il ne serait plus question de faire demi-tour. C’est une chose de rêver de se faire sodomiser, c’en est une autre de permettre à un étranger de pénétrer et de s’enfoncer dans son corps. Mais après une seconde d’hésitation, affamé de sexe et de plaisir, ne me contrôlant plus à l’idée de recevoir cette bite en moi, les mots sortirent de ma bouche : « Oui, baise-moi, dans le cul. Je veux tellement ta bite !»

     

    Il me donna une petite claque sur les fesses et se mit à me doigter un max. A cet instant, je ne voulais plus qu’une seule chose au monde, avoir sa bite, toute sa bite en moi.

     En quelques secondes son doigt dans mon cul me rendit fou de désir. D'une manière ou d'une autre, il le fit tourner, ouvrant mon cul, l‘élargissant lentement. Il expliqua : « Une chatte vierge comme la tienne doit être préparée sinon ça te ferait vraiment mal. »

    « Tu veux vraiment que je sois le premier » reprit-il, alors que son doigt me branlait le trou, allait venait dans tous les sens pour me préparer à son gros manche dur. 

    « Oui, encule -moi, prends-moi comme une salope ». Je ne pensais plus qu’au plaisir, le sien et le mien et qu’à avoir sa bite dans mon cul.
    Il gloussa : « Tu es un petit puceau impatient. Alors tu sais que tu vas aimer. »

     Finalement il me demanda calmement : « T’es prêt ? Je vais forcer ton petit cul étroit. T’es vraiment prêt ?  Dis-moi. »

    « Oui, j’ai tellement attendu ce moment. » Mais j’ai ajouté . « Vas-y doucement, c’est ma première fois. »

    « Ta première fois, oui mais tu t’en souviendras, je vais te faire un dépucelage de luxe… »

    Son doigt quitta mon cul et je me sentis vide. Je me retournai pour le voir attraper un tube de gel, passer du lubrifiant sur sa. « J’y vais. T’es prêt ? » Je grognai mon accord.

    Il a passé la main entre mes jambes et a généreusement enduit ma rosette de gel. J’ai senti un liquide froid couler sur mon cul et s’étaler entre mes fesses.

     J'ai écarté mes jambes largement. Il s’est allongé sur moi entre elles. Nos regards se sont croisés alors qu'il se penchait pour guider sa bite dure vers mon cul. Puis je sentis son gland chercher mon trou, le trouver et appuyer dessus.

    Il poussa lentement en avant, élargissant mon cul du même coup. Il a continué à presser le bout de sa bite jusqu’à ce que ma rosette s‘ouvre et accepte son gland. J’ai aussitôt ressenti quelque chose d’inconnu, une un frisson m’a traversé tout le corps et je n’ai pas pu m’empêcher de pousser un long gémissement. ; Lucas a arrêté et m’a demandé si ça allait, je lui ai dit que oui et je lui ai redemandé d’y aller doucement, que ça faisait un peu mal.

    A ce moment, mon cul était étiré et ouvert comme il ne l’avait jamais été et mes gémissements témoignaient du mélange de douleur et de plaisir qui m’étreignaient en sentant sa bite s’enfoncer centimètre après centimètre dans mon cul vierge.

    La douleur n'était pas intense, mais je la sentais. J’avais tellement envie d’aller jusqu’au bout. Je serrai les dents et laissai simplement le gros manche épais de Lucas entrer, entrer, entrer, et entrer en moi. Je me suis détendu. Au bout d’une minute, plus de douleur. Restait juste le plaisir.

    Alors il m'a baisé, s’arrêtant juste e de temps en temps, ça me permet de sentir encore mieux sa tige glisser dans mon cul.

    « Oui ! J'aime ça. J'adore ça ! Baise-moi… J'aime la sensation de ta bite. J'aime la sensation de mon cul avec ta bite dedans. »

    Il m'a dit à quel point il me sentait bien. Il m'a dit à quel point il était excité de me baiser enfin.

     Je me suis accroché à son cou et je l'ai tiré vers moi. J'ai regardé par-dessus son épaule et j'ai regardé ses belles fesses sexy monter et descendre avec sa bite qui empalait mon cul vierge.

    "Baise-moi. J'aime la sensation de ta bite. J'aime la sensation de mon cul avec ta bite dedans."

    Il m'a baisé, pour de bon !

    Sa bite frappait au fond de moi de moi, ce qui semblait me donner un orgasme permanent pendant qu'il me baisait, me baisait, me baisait. J'ai serré les bras autour de ses épaules.

    Je n’avais jamais connu ce sentiment de se faire dominer, d’être soumis aux envies du partenaire Tout cela était un vrai bonheur

    Nous étions en sueur tous les deux, je sentais des petites gouttes tomber sur moi.

    Peu à peu il augmenté le rythme et sa bite allait chaque fois tout au fond de moi.  Mon   plaisir, ma jouissance, mon bonheur étaient parfaits.

    Fantastique. Je me sentais plein, empalé, rempli… Comment l’expliquer ?

    « N’explique pas, profites-en, c’est tout C'est tellement bon. » m'a-t-il dit.

    Au bout de quelques minutes il s’est mis à gémir et lancé : « Putain, que t’es bon !  Ça vient… Je vais jouir ! »

    Je voyais bien qu’il allait venir, il poussait des « aah ! »de plus en plus forts et ses coups de bite me pilonnaient à fond.

    Sans hésiter je lui ai répondu : « « Oui, oui ! Jouis !  Jouis dans moi.  Finis de me dépuceler jusqu’au bout !»

    Brusquement, j’ai senti sa queue palpiter plus fort. J’ai compris et je me suis serré encore plus fort contre Lucas. Dans un dernier coup de rein, il jouit en moi, râlant comme une bête à l’agonie. Je sentis au fond de moi les contractions de son gland et les décharges de sperme chaud qui m’emplissaient. 

    Comment un tel moment était-il possible ? De toute ma vie, je n’avais jamais connu ce que s’est de se faire prendre, de recevoir l’autre, de s’abandonner à lui. Rien à voir avec le plaisir qu’apporte l’éjaculation, c’était un plaisir intérieur qui mène à une sorte de satisfaction et de sérénité.  Et c’était un « p’tit jeune », presque un gamin qui venait de me procurer. C’était incroyable.

     Il était allongé là, sur moi, sa bite encore enfoncée dans mon cul. Nous sommes restés ainsi pendant plusieurs minutes de bonheur et j'ai senti son manche ramollir et rétrécir et Lucas s'est lentement retiré de mon corps, ma laissant une étrange sensation de vide après celle de l’empalage

    .J’ai fini par m’effondrer sur lui et je l'ai embrassé dans le cou. J’ai roulé sur le côté et Lucas a fait de même. Nous nous sommes endormis en cuillère avec ma main posée sur sa bite maintenant flasque.

    Je me suis réveillé tôt et j'ai décidé de prendre une autre douche. Pendant que l'eau chaude coulait sur mon corps, j'ai repensé à ce qui s'était passé. Est-ce que Lucas avait aimé et voulu ça autant que moi, ou est-ce juste qu’il avait voulu me faire plaisir ? Y aurait-il d’autres fois ? J’avais exploré une nouvelle facette de de moi-même et ça me plaisait beaucoup. Je n’avais qu’une hâte, c’était de remettre ça mais je craignais que la nuit dernière ne reste un événement unique, ou pire, je craignais qu'il ne pense que j'avais profité de lui.


    J'ai été surpris lorsque les rideaux de douche se sont ouverts. Lucas est entré dans la douche et m'a entouré de ses bras et m'a embrassé sur les lèvres. Je sentis ses mains courir sur mon corps, ses doigts me donnaient de petites décharges électriques. Et ainsi donc nous nous retrouvions comme amants mais cette fois c’était différent, chacun savait exactement ce que voulait l’autre.

    Puis il est tombé à genoux et m'a fait une pipe merveilleuse, lente, ardente, aussi passionnée que celle de la veille. Je suis venu dans sa bouche et Lucas a avalé chaque goutte. Nous nous sommes lavés en frottant chaque centimètre de notre corps sans oublier d’insister une peu sur certains endroits. Quand nous avons fini, j'ai pris Lucas et je l'ai porté jusqu'au lit, encore trempé. Je l'ai jeté sur le lit et j'ai dévoré sa bite. Je n'en avais jamais assez, suçant et léchant son manche et ses couilles, goûtant chaque centimètre. J’ai mangé sa bite comme si j'étais possédé mais c'était le pouvoir de la passion, me disant qu’il pourrait s'écouler très, très longtemps avant que j’aie une autre queue à pomper et d’autres couilles à vider.

     Mais je savais que nous avions encore du chemin à faire et que devions quitter cet hôtel dans lequel j’avais fait une si belle découverte. Nous avons pris le petit déjeuner vite fait dans le hall de l’hôtel et nous avons repris la route. Plus tard, au moment de nous quitter, Lucas m'a raccompagné à ma voiture. Il m'a fait un long et fort câlin. J'ai senti ma bite me titiller et je me suis demandé si les gens à proximité pouvaient dire que nous étions amants. J'ai réalisé que j'étais paranoïaque, quiconque regarderait supposerait simplement que nous étions père et fils en train de se dire au revoir.

     

    *  *  *

     

    Environ une semaine plus tard, un jour que sa mère passait nous voir, ma femme et moi, elle a dit au cours de la conversation :

     

    « C'est drôle. Quand il est parti, il a clairement fait savoir qu’il ne reviendrait pas souvent à la maison, peut-être même pas avant Noël. Maintenant, il veut rentrer à la maison pour le week-end du 11 Novembre. Je pense que sa maman lui manque.
    Elle avait certainement raison, mais je savais qu’il n’y avait pas qu’elle qui lui manquait !!!

     

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