• Et voici la toute dernière histoire     

     

     

     

    Cette fichue réunion qui n'en finissait pas de traîner avant de finir.

     


    Une fiction histoire fantasmée que propose  Jimy  -1215 mots.

     

    Je vous recommande son blog, surtout si vous vous sentez un  peu bisexuel... C'est la fête aux bites et aux chattes ! (http://homohetero.hotviber.fr/)

     

     

     

    Cette fichue réunion qui n'en finissait pas de traîner avant de finir.

     

     

     

    Un rapide salut à mes collègues, je saute dans ma voiture...

     

     Il fait presque nuit. J'ai plus d'une heure de route. Tant pis pour les radars, j'accélère un peu, pressé de rentrer.

     J'aborde vivement ce rond point désert. A la sortie, une silhouette le pouce en l'air, un mec bien visible sous un lampadaire. À cette heure il n'y plus grand monde, aller juste pour lui rendre service, je stoppe. Ça ne va pas me ralentir beaucoup.

     Je le vois se hâter dans le rétroviseur, j'ouvre la vitre.

     " Vous allez à XXX"?

     " Oui c'est sur ma route. Montez"

     " Merci ! C'est sympa !"

     Les deux mains sur le volant, je l'observe d'un œil. La quarantaine, bien foutu, un visage imberbe, agréable.

     "Vous faites souvent cette route ?"

     " J'ai raté le train, " dit-il énervé. " Et il n'y en a pas d'autre avant demain matin".

     Bon ok il n'est pas d'humeur à vouloir bavarder, tant pis. Je continus de le surveiller. Il a une main sur sa braguette, il se frotte le bas ventre en soufflant doucement.

     " Vous été malade? Un problème ? Vous voulez que je m'arrête ? "

     " Non pas de problème". "Juste qu'en plus je vais rater mon rendez-vous de ce soir." Dans un soupir agacé

     " J'étais bien chaud, en y pensant"

     "J'ai trop envie de baiser"

     "Heuuu ! " ah bon, et .... ?

     " T'es pas PD par hasard" ?

     Tient on se tutoie !

     " Heuuu ! "

     "Je pourrais t'enculer pour me soulager"

     Heuuuu !

     Au moins c'est clair et direct.

     " PD, pas vraiment. Bi tout au plus" "Et pour avoir mes fesses ce sera avec douceur et délicatesse." Je réponds surpris, et finalement intéressé par ce trip qui se profile.

     Sa main quitte son entre jambes se pose sur ma cuisse, s'immisce dans mon pantalon. Je tends un peu le ventre en avant. Pour lui montrer mon accord la mienne directement sur sa braguette. A travers le tissu je perçois une solide bosse.

     "Humm ! Ça m'a l'air sérieux là dedans "!

     De son coté il a déjà ouvert la fermeture éclair et écarté le slip. Il va falloir que je ralentisse, et essaye de rester concentré sur la route.

     " Aide moi un peu, ouvre ton pantalon, je la veux à pleine main"

     Il n'obéit pas. Il se glisse sous le volant et embouche ma queue.

     Je ne peux pas l'atteindre, ma main droite coincée par son bassin je me contente de masser le jean du bout des doigts.

     Il va falloir que je ralentisse encore, ça devient difficile de rester concentré sur la route. Je scrute le bas coté. Il faudrait que je trouve rapidement un espace discret pour m'arrêter et me consacrer sur cette affaire qui devient bien chaude et attirante.

     Ouf ! enfin un petit chemin bordé de haies. Il était temps ! Sa bouche et trop bonne. J'ai du mal à contrôler ma queue enflée au max.

     Je tire le frein à main, arrête le moteur.

    Je le redresse, le défouraille sauvagement. Il faut que je le goûte.

     Je gobe ce membre tendu, il rempli toute ma bouche. Sans les mains, je joue de la langue, des lèvres. J'aspire, je lèche, faisant des vas et viens sur cette hampe. Haletant, le souffle court, il semble apprécier, un peu trop aussi, une énorme giclée crémeuse, tiède inonde ma bouche. Grrr ! Il était vraiment en manque. Dommage pour mes fesses, pourquoi ne s'est-il pas retenu ? La suite semble compromise.

     La bouche pleine de son jus onctueux, je me redresse et l'embrasse à pleine bouche partageant sa semence dans un long et savoureux baisé qu'il partage, sa langue fouillant ma bouche.

     Puis il m'écarte, ouvre sa portière.

     "Viens, on sera mieux dehors"

     Il en veut encore semble-t-il.

     Je le rejoins devant la voiture. Il me plaque les fesses sur le capot, s'agenouille gobe mon dard. j'écarte les jambes, tend le bassin en avant. Je suis aux anges sous l'expertise de sa langue.

     Je lui prends les hanches, le soulève vers moi. Lui plié en deux les jambes tendues, moi en me penchant je peux me saisir de son paquet, toujours ma queue dans sa bouche veloutée.

     Bonne nouvelle, il bande encore. Je le branle délicatement, pour entretenir et encourager cette belle promesse.

     Je me retiens de jouir, pas tout de suite !

     Je le repousse, me retourne, à plat ventre sur le capot, les jambes grandes ouvertes, le cul en l'air, j'écarte les globes à deux mains.

     Il vient y fourrer le nez, puis la bouche. Il humidifie la rondelle. Sa langue se fait de plus en plus pressante. Je détends l'accès, sa langue ouvre le passage dans un délicieux effleurement. Je gémis sous cette caresse intérieure. Apres avoir déposé de la salive, un doigt, puis deux prennent possession de mon trou affamé.

     Sa bite rigide entre mes jambes, il se plaque contre mon dos, cherche et trouve ma bouche pour un délicat baisé. Son gland contre ma rondelle, il appuis doucement, entre paisiblement, glisse lentement jusqu'au fond, bute sur la prostate et s'immobilise.

     Je frémis, tremble de plaisir. Je voulais de la douceur, de la délicatesse. Il a bien compris, il prend son temps pour mon plus grand plaisir. Toujours immobile il continue son doux baiser, nos langues s'entrecroisent langoureusement.

     C'est moi qui bouge le premier, remuant les fesses, l'invitant à me fourrer plus vigoureusement. Il entreprend des vas et viens de plus en plus rapides. Chaque fois jusqu'au fond. Mes jambes tremblent de plaisir. Je suis parcouru de délicieux frisons. Il continue sa danse de plus en plus sauvage. Parfois sortant pour revenir rapidement. Je ne tiens plus, je flageole, n'écroule dans un grand orgasme anal. Lui d'un coup plus fort il me défonce au plus profond et s'immobilise, lâchant une autre salve de jus. Je le retiens les deux mains plantées dans ses fesses.

     Longtemps nous restons ainsi unis. Il m'embrasse dans le cou, caresse mes joues, je tends les lèvres pour encore gouter sa bouche dans un baiser apaisant.

     Je sens son membre se replier. Il s'écarte, je m'accroupis à ses pieds, récolte les dernières goutes de sperme pour nettoyer ce bâton d'amour. Dans cette position le jus descend en moi, je serre les fesses pour le conserver encore.

     "Merci, tes fesses sont trop bonnes" "je suis complètement vide, un cul de mec c'est toujours un plaisir puissant, et le tient particulièrement expert"

     "Hummm, merci surtout à toi, tu es très doué avec ta belle queue"

     Nous remettons chacun nos pantalon, je prends soins de mettre un mouchoir au fond de mon slip.

     Cote à cote nous reprenons la route, sa main sur ma cuise, la mienne sur sa cuisse. Le mouchoir et de plus en plus humide.

     En silence nous arrivons à destination, il va falloir se séparer.

     Il descend de voiture, "merci pour ce voyage"

     " Tout le plaisir est pour moi". Avant de fermer la portière il me tend un papier. Son 06.

     "Hé, je t'appelle bientôt".

     

    Histoire rêvée, hier soir en rentrant seul en voiture. De nos jours les auto-stoppeurs sont rares. Et en plus gros risque d'être accuser de harcèlement.

     

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